Un job d'été menant à la régression 3

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Ce récit est la suite de : Un job d'été menant à la régression 2
il y a 2 ans

Le premier chapitre de cette histoire est ICI

Dimanche

Je me réveille donc, dans le noir et en ignorant totalement de l’heure qu’il peut être. Seule certitude, en effet j’ai passé la nuit seul entre des barreaux… mais qu’est ce que cette tenue est agréable !!! Toute douce, ce sentiment de sécurité à pouvoir me laisser aller même quand je dors… j’ignorai qu’un tel sentiment était possible.

C’est alors que la porte s’ouvrit, laissant entrer un filet de lumière et elle apparut… cette maman autoproclamée qui m’a réduit à cet état (lamentable ?).

Avec toute la délicatesse dont elle était capable, elle m’aida à sortir du lit et une fois à terre me raccrocha la laisse avant de me trainer vers la salle de bain.

« J’espère que tu as bien dormi, mais ce matin on a du pain sur la planche, il faut que je te rende présentable !! »

Avec ma tétine, je ne pus lui demander si c’était pour sa fille qu’il fallait me rendre présentable, ou pour une autre raison… Une fois dans la salle de bain elle me baissa la fermeture éclaire et m’aida à sortir les jambes de la grenouillère. Cependant elle me laissa les manches ainsi que les gants aux mains ainsi que la tétine… finalement, seule la couche était et mes jambes étaient accessibles pour le nettoyage…

« Rentre dans la baignoire mon ange mais laisse tes bras en dehors s’il te plait. Ce serait dommage de mouiller ta tenue matinale » me dit-elle avec un grand sourire. Je la vis alors me quitter de nouveau pour revenir avec un tablier en cuir noir ainsi que des gants en latex. Loin de me rassurer, elle se contenta de me dire que j’allai découvrir de nouvelle sensation et c’était pour ça qu’elle devait se protéger.

Elle rentra alors dans la baignoire et se glissa derrière moi en m’ordonnant l’ordre de rester comme j’étais. Elle retira la culotte plastique et la couche glissa d’elle-même dans la baignoire… les poids et les différents liquides absorbés ayant augmentés le poids de la couche sensiblement...

« Je crois que tu n’est pas allé au WC depuis hier matin. Même si tu n’as pas mangé beaucoup de produit solide, il faut quand même faire ta vidange. Détend toi. »

En me calmant, je la vis prendre le pommeau de douche et dévisser le pommeau justement. Pourquoi faisait-elle ça ? Avec le tuyau d’arrosage improvisé, elle me nettoya les fesses, le sexe… Et seulement après m’enleva le gode. Mais rien sorti contrairement à ce que je redoutai. Cependant ce n’était pas ce que ELLE recherchait… avec mon trou largement ouvert elle m’inséra le bout du tuyau de douche et commença à faire couler l’eau dans mon corps.

« Je ne peux qu’imaginer que c’est spécial, mon mari ne m’a jamais fait essayer ça. Mais je pense que tu apprécieras la finalité. Je dis bien la finalité. Normalement il faut une poire à lavement pour cela, mais il faut faire avec les moyens du bord, aujourd’hui les boutiques sont fermées…»

Elle me retira alors la tétine pour que je la prévienne si la douleur est vraiment insupportable. Je sentais l’eau remplir doucement dans mes entrailles, mais c’est au bout de quelques minutes que je ressenti l’eau vraiment remplir mon ventre et n’ayant d’autre solution de monter plus haut dans mon corps. Quand les crampes furent présentent et que je ressentais vraiment une douleur je préviens la maman qui coupa l’eau et me laissa me vider dans la baignoire une fois qu’elle serait sorti. La sensation quand je me vidai était bizarre. J’avais l’impression de pisser par le cul mais ce n’était pas désagréable. En tout cas à la vu de mon sexe ce n’était pas une torture à proprement parlé.

« Bien, je pense que tu es suffisamment propre de l’intérieur. Attend que je rince la baignoire, puis je te demande de mettre la tête sur le fond de la baignoire et de tendre tes fesses vers le haut. »

Une fois dans cette position on ne peut plus bizarre, je senti à nouveau un léger tube me forcer l’anus. De ma position, il me semblait voir un entonnoir.

« Ecoute mon ange, hier tu m’as dit vouloir me sentir « en toi ». Aujourd’hui je vais te prendre au mot. Si la moindre goute tombe en dehors de l’entonnoir tu recevras une punition que tu n’oublieras pas. »

Je la senti alors uriner dans l’entonnoir. Cette fois ce n’était pas de l’eau, mais de l’urine qui me remplissait. SON urine. Quand elle eu finit, je forçais mes sphincters pour que pas une goute ne ressorte quand elle m’enleva l’entonnoir. Elle me montra alors un plug, plus volumineux que celui de la veille… « Allez mon petit… Profite du spectacle ! Mais attention à garder les fesses bien fermées !! »

Elle inséra le plug dans la bouche… Le faisant rentrer, sortir… Jouant avec la langue autour, tel une glace délicieuse. Un spectacle digne de toute actrice porno, sans aucune once d’obscénité ou de vulgarité. Sa salive coulait le long du plug, elle faisait son possible pour qu’il soit le plus glissant possible.

En me retenant pour ne pas me « vider », je me mis sur les fesses, contemplant toujours ma « maman » et commença à mettre une de mes mains sur le sexe…ne pouvant agripper mon sexe à cause du gant qui recouvrait mes mains, je pouvais néanmoins me caresser, tel une demoiselle sur son clito. Le regard de « Maman Sophie » m’encouragera à poursuivre mes caresses.

« Mmmm tu es si beau mon ptit… continu !! Tu me donnes des idées… »

Je continuai mes caresses, la queue bien droite, le présperme dégoulinant sur mon ventre.

« Attention !! Tu as le droit de jouir, mais ferme les yeux à ce moment là et garde-les ainsi !! »

Il ne m’en fallut pas plus… J’explosai dans un grand cri de plaisir, mon sperme recouvrant mon torse. Comme demandé, je gardé les yeux fermés, appréciant la sensation d’être ainsi étendu dans la baignoire, le cul bien fermé. Tandis que mon sexe se ramollissait, je senti Maman Sophie le saisir… puis mes testicules et soudain ma queue fut toute serré. J’ouvris soudainement les yeux pour contempler mon sexe dans une prison en plastique.

« C’est une cage de chasteté… Jusqu’à présent la couche t’empêchait de te caresser, mais tu parvenais tout de même à jouir d’une manière ou d’une autre, ce qui calmait ta motivation à rester dans le droit chemin. J’espère que tu apprécie ce cadeau ».

« Mais… Comment as-tu un objet pareil ? Comment sais-tu la manière de s’en servir ? »

« En effet, tu l’inaugures. Après mon divorce j’ai acheté plusieurs objets par curiosité, et j’avoue que celui-ci, ayant le pouvoir de dresser les hommes a attiré mon regard. La sensation te déplaît elle ? ».

« Non en effet… Pas pour le moment »

Sur ce, elle présenta le plug à mes fesses et me l’enfonça. Ceci eu pour effet d’exciter ma queue qui se trouva vite compressée, mais la sensation était appréciable… Pour le moment.

« Tu imagines ? Au bureau tu penseras à moi en permanence… ta cage ne peut être enlevé que grâce à la clé que voici et que je porterai fièrement autour de mon cou… Et toi seul saura son utilité. Il parait que ça vous rend fou, vous les hommes ».

Toujours avec les mains empaquetées, maman Sophie me remis une couche propre entre les jambes, la culotte en plastique et me remis la grenouillère ainsi que la tétine avant de me reconduire dans le salon (ou du moins, je supposai). Mais ce qui me surpris, fut qu’elle me rebanda les yeux avec le foulard de la veille. En effet, sans la laisse qui me tirait dans la bonne direction j’aurai eu du mal à retrouver mon chemin tout seul… Elle me tira ainsi dans une autre pièce, où je ne pu savoir ce qu’il se passait. J’ignore le temps qui s’écoula, mais je me sentais bien dans cette situation. Avant qu’on ne se remette à se déplacer

« Attention aux marches ».

Je réussi à balbutier quelques mots « on….Vaaaaaa…ooooùùù ? »

« Ne soit pas trop curieux mon petit, tu le sauras bien assez vite ».

Une fois à la cuisine, maman Sophie m’enleva le foulard.

Je fus obnubilé par le spectacle. Certes, elle était en tenue du dimanche, mais cela ne soulignait que plus intensément sa beauté. Un jean slim soulignant ses belles courbes, un petit top laissant entrevoir son nombril… Et des sandales mettant en valeur ses orteils si bien manucurés...

Seul « bizarrerie », elle portait non pas une, mais 4 ceintures à la taille. Plus pour l’effet que pour leur utilité, mais ça me semblait beaucoup… J’étais pantois de ce spectacle. Elle me tendit alors un biberon que je m’empressai de porter à mes lèvres devant son regard attendrissant. Elle me mit fit m’asseoir sur ses genoux pendant que j’apprécier ce bibi… Néanmoins, une fois celui-ci terminé, elle ne se pressa pas pour m’en donner un second comme la veille. Elle se contenta de me contempler, les yeux dans les yeux. Ce regard, ce doux visage… Décidément, quelle chance j’ai ! Je ne pu tenir plus longtemps, et approcha mes lèvre de son top… Avant de lui enlever et me mettre à téter sa poitrine. Passant la langue sur son téton, le mordillant… Mes mains caressaient sa poitrine en même temps que ma langue la caressait du mieux que je pus. Je la voyais gémir, se mordre la lèvre inférieure…

« He bien… Tu aimes tant que ça d’être un bébé ? Regarde… Ton petit robinet ne semble pas vouloir grandir…»

En effet, elle passa sa main dans la couche, et s’amusait à caresser mon sexe toujours encagé. Le sang afflua dans ma verge, provocant plus des douleurs dans l’entrejambe que de plaisir. Et pourtant… La douceur de sa peau à travers la cage m’incitait à poursuivre mes caresses, jusqu’à ce que l’excitation devienne intenable… Elle commença à me masturber à travers la cage, le sperme montant dans mon sexe. J’arrêtai mes caresses pour savourer cet instant, jusqu’à ce qu… Elle s’arrête.

Je senti le sperme s’écouler sur la cage en fer, sans ressentir le moindre plaisir. Effaré par la situation, je contemplais une fois de plus son regard satisfait, ravis de son acte apparemment.

« Je t’ai dis qu’un bébé ne doit pas faire des choses de grands… Tu peux lécher ma poitrine, faire du plaisir à ta maman, mais oublier ton plaisir personnel… Je te l’ai pourtant déjà dit hier. Reste bien sagement ici, je dois m’occuper du linge. Tu peux regarder la télé en attendant ».

J’allais protester, quand elle m’enfourna la tétine de la veille qu’elle m’attacha derrière la nuque. Elle défit alors ses 4 ceintures. Avec 2 d’entre elles, Maman Sophie attacha mes cuisses à leurs chevilles respectives, m’obligeant à garder les jambes pliées… Elle fit de même avec mes bras, où les poignets étaient attachés aux épaules. Je devais ainsi me déplacer sur les genoux et les coudes…

« oh… Tu es adorable comme ça !! Il ne manque qu’un accessoire pour faire de toi un mignon bébé… ». Sur ce, elle parti chercher 2 accessoires : un serre tête avec des oreilles de chat, et un accessoire de queue de renard qu’elle attacha derrière ma couche avec une épingle à nourrice.

« Ce qu’il est mignon mon petit ainsi !! Maman revient, soit sage ». Elle alluma la télévision pour que je puisse regarder les dessins animés en attendant, mais je préférai admirer son ptit cul se trémoussant pendant les quelques secondes où elle me tourna le dos pour partir à ses activités… J’avais le « plaisir » de contempler un épisode des totally spies, dans leurs tenues moulantes… Qu’est ce que s’imaginaient les scénaristes en imaginant de telles tenues ? Forcément qu’en grandissant avec un tel spectacle ça donnerait des idées… Mon sexe était toujours au repos à cause de la vidange récente… A cela on ajoute les 2 biberons, et surtout la curiosité de découvrir la réaction de maman Sophie : je me laissai aller dans ma couche. Je n’avais pas le temps de sentir l’urine s’écouler que la couche faisait son travail d’absorption. Le temps s’écoulait.

L’urine de maman Sophie couplait au plug et la sensation de douceur de la couche… Je restais au sol, sur les coudes, mais l’excitation montait de plus en plus malgré la cage de fer enserrant mon oiseau. Etant limité dans mes déplacement, je me frottai contre le sol, espérant calmer mes ardeurs. J’ignore le temps que cela prit, je ne regardai plus le dessin animé, tout ce qui me préoccupé était de me soulager : Sans aucun moyen d’y arriver. Quand j’entendis un raclement de gorge derrière moi.

« He bien ! Tu es incorrigible ma petite !! Et surtout une vilaine fille… Ne t’avais je pas dis de ne pas faire de chose de grande ? » !

J’ignore ce qui m’effrayait le plus : l’appellation au féminin, ou le ton employé… Elle me remit à « 4 pattes », et descendis ma couche.

« Au moins elle a une utilité ! Je savais que tu en avais besoin inconsciemment! »

Les claques se mirent à pleuvoir sur mes fesses... Je senti la douleur de chaque claque, puis une chaleur se fit sentir. Chaleur plaisante et douloureuse à la fois. Je découvris une nouvelle sensation de plus.

Impossible d’exprimer mes surprises/douleurs subis sous les coups, seul des «mmmm » sortirent de mon bâillon sucette. Quand elle en eu assez, elle me força à m’asseoir sur la chaise et défit les ceintures de mes cuisses. Toutefois, plutôt que de me laisser libre de mes mouvements, elle les attacha autour de chacune de mes chevilles, aux pieds de la chaise. J’étais obligé de me tenir assis, le plug rentrant plus intensément en moi, les mains toujours « attachées » à mes épaules….

« Je veux vérifier une dernière chose te concernant. Je vais revenir, mais tu es libre de tes mouvements… Ou du moins de ce que tu peux faire… ». Je ne comprenais pas bien son allusion. La bave commençait à s’écouler de ma « teutotte », la douleur des fesses était estompée, laissant la place à la chaleur des claques et de la chaise.

Toutefois à défaut de calmer mon « excitation », cela l’augmenta… Et si je ne pouvais jouir en touchant mon sexe, je voulu tirer parti du jouet présent dans mon derrière.

Je me mis à faire des va et viens avec le plug. Me levant et me rasseyant pour le faire bien rentrer en moi. Telle une femelle en chaleur, je m’enfournai sur ce jouet de plaisir. Mon sexe commençait à être à l’étroit dans sa cage, mais qu’importe… Je sentais le plaisir monter malgré tout. L’urine de maman Sophie s’écoulait également de mon anus, ce dernier commençant à être de moins en moins étroit. J’étais aux anges. Je prenais même plaisir à m’arrêter avant le point de non retour avant de recommencer mon manège. Le plaisir était immense, mais je redoutais mon désir si je parvenais à la jouissance.

Une fois de plus, j’étais en dehors du temps, incapable de savoir depuis combien de minutes je faisais cette masturbation anale. Alors que mes fesses était légèrement levées de la chaise, certain de jouir si je m’enfonçai de nouveau sur le plug, des mains s’appuyèrent sur mes épaules, enfonçant profondément le plug en moi, et faisant jouir ma queue malgré la cage… Bien que jouir ne soit pas forcément le bon terme, me faisant « me vider » serait plus juste…

« J’avais raison !! Tu es une « chienne » en chaleur !! Je vais décidément bien m’amusée avec toi ma chère petite… ». J’étais dans les vapes… J’entendais « maman Sophie » parler, sans pouvoir ni répondre, ni même manifester la moindre réaction physique. Le regard dans le vide, exténué par toutes ces émotions.

Comme la veille, elle s’approcha de moi, écarta le devant de ma couche pour uriner encore à l’intérieur. Je me laissai faire, cela devenait normal. Je ne ressentais plus d’excitation particulière. De même lorsqu’elle s’assit sur mes genoux et présenta différent biberons dont je bus chaque boisson… Avant de m’endormir sur cette chaise. Les bibis étaient ils dogués, ou étais je trop fatigué ? Je l’ignore… Mais lorsque je me réveillai, j’étais sur le sol du salon, nu. Les mains toujours dans leurs mitaines respectives, mais la couche, comme le plug furent levées. Seule la cage recouvrait mon sexe. L’absence de cette couche me semblait anormale, de même que l’absence du plug…

« Alors, on a fini sa sieste petite chienne ? »

Maman Sophie se tenait debout derrière moi. Toujours sa tenue « décontractée », et le collier avec la clé de ma cage bien en évidence à son cou. Je fus surpris de constater que je pouvais m’exprimer…

« mmmm Moui… Que se passe-t-il ? Qui a-t-il de prévu ? »Me levant doucement, tout en tenant la tête dans mes mains.

« He bien… On s’approche de la fin du week-end. J’ignore pour toi, mais personnellement je me suis bien amusée. Tu as maintenant 2 choix. Soit je t’ouvre cette cage (tout en manipulant la clé entre ses doigts) et on s’arrête là, soit je te la laisse et… Tu verras. Mais sache que dans ce second cas, tu la garderas au moins une semaine de plus. Alors ? ».

Sans hésiter une seconde (mon dieu, où se situe le cerveau de l’homme, honnêtement ?), je répondis : « Je reste à vos pieds maman Sophie », tout en restant à genoux devant elle.

« Parfait !! Fais-moi plaisir, ferme les yeux et lève les bras. Je ne te mets pas de bâillon, mais si j’entends le son de ta voix, tu sera puni».

Elle passa un ruban par-dessus mes paupières, m’empêchant de voir la suite du programme… De même, je senti un vêtement glisser sur mes bras. Toutefois le vêtement me semblait bien ample, recouvrant même mes jambes. Une ceinture passa autour de ma taille qui fut bien serrée. Sans me couper le souffle pour autant. Chacune de mes mitaines furent levées de mes mains. Maman Sophie massa chacun de mes bras avec de l’huile. Le massage fut des plus plaisants, la douceur des doigts, l’odeur de l’huile… Tout était agréable dans ce traitement ! Maman Sophie me passa un gant bien long sur chacun de mes bras, facilité par l’huile. Je pouvais sentir chaque gant remonter jusqu’à mes coudes…

J’eu droit à un traitement similaire pour les jambes. Cela m’intrigua, car si j’imaginai le port de collant, je ne comprenais pas l’usage de l’huile pour cela. Et en effet, un « tissu » fut passé sur mes pieds, suivi d’une chaussure très étroite… J’ignorai s’il s’agissait d’une chaussure, car telle une botte cela recouvrait mon mollet, mais je ne pouvais plier le pied, et cela me semblait difficile de marcher avec... Pour finir, un vêtement fut poser sur mes cheveux, tombant jusqu’à mes épaules et un collier habilla mon cou.

« Tu es magnifique !! Reste ainsi, interdiction de bouger, ou encore de parler… Je te mets un bibi à proximité, donc tu pourras te désaltéré, mais n’oublie pas que tu n’as pas de couches !! ».

Je restai donc dans cette posture. Intriguai par la situation, mais m’interrogeant de plus en plus sur la tournure des événements à venir… Les vêtements me seraient de plus en plus et le bibi à proximité ne fut pas du luxe. Toutefois le temps passa et j’essayai de ne pas trop boire pour préserver ma vessie… .

« Ma chérie !! » le ton de Maman Sophie m’était inconnu… S’adressait-elle à moi ? « Heu… Oui ? » J’hésitai, car il ne me semblait pas être concerné par ces propos. Était-elle au téléphone ? « Oui coucou Maman ! Je suis rentré plus tôt, tes propos m’ont intrigué ! Qu’elle est donc cette magnifique poupée que tu as trouvée ?! »

Je suai à grosse goutte… Si en arrivant j’avais le rêve de rencontrer la fille de maman Sophie, le traitement subit depuis près de 48h m’avait fait non seulement oublié cette idée, mais surtout j’étais inquiet de rencontrer cette inconnue dans cette tenue qui me semblait grotesque… Notamment avec la cage de chasteté sur mon sexe.

« Vient ma chéri, je vais vous présenter ».

Le ruban tomba de mes yeux, et je contemplais la fameuse Marion… Aussi belle que la photo vue au travail. Blonde, mais les cheveux lisses tombant sur ses épaules et le long de son dos. Un regard bleu profond, donnant l’impression de se noyer dans un océan… Des lèvres bien dessinées, sans être provocatrice. Le stéréotype d’un mannequin… Un jean moulant avec un top rose bien girly, et des chaussures à talon rose, laissant apparaître 2 orteils parfaitement entretenus …

A l’inverse, je pouvais observer un miroir derrière elle, me renvoyant mon image : une robe rose avec un tablier blanc devant. Un tutu blanc dépassant du dessous de la robe également. Des gants blancs le long de mes bras, et des bottes roses aux pieds, dont les talons étaient si longs, que je ne pouvais marcher autrement que sur la pointe des pieds…Si seulement je pouvais encore marcher… Le collier en diamant de la veille autour du coup, et enfin, une perruque brune recouvrait ma tête. En effet, j’étais « une poupée ».

« Bonjour, moi c’est Marion». Sa voix était douce, envoutante… Encore plus que sa mère. « heu… B… Bonjour » « Tu es charmante tu sais ! Je vais être franche, j’ai confiance en ma mère, donc si elle estime que je peux être « heureuse » avec toi, alors c’est que c’est vrai » ajoutant un clin d’œil à la fin de sa phrase. « Voyons voir ça… »

Elle releva la robe, tombant sur mon sexe ainsi encagé.

« Maman !! Elle n’est pas protégée ?! » « Non, mais elle est déjà prête à ça, et ton idée de la cage m’a des plus séduit, je n’ai pu m’empêcher d’essayer cela sur lui » Avec un grand rire dans la voix.

Elle lui tendit alors à la fois la laisse de la veille, un plug, ainsi qu’une couche.

« Maman, je peux m’amuser avec elle ? »

« Mais bien sur ma chérie ! Je vous laisse et vais préparer le repas pour ce soir ». Maman Sophie s’éclipsa… Je restai donc en tête à tête avec cet ange tombait du ciel.

« Allez… Vient ma chérie ». En accrochant la laisse à mon cou, elle me dirigea en dehors du salon. Par réflexe, j’ai essayé de me lever, mais les bottes m’en empêchèrent, et la pression de la laisse me força à rester à 4 pattes pour suivre Marion… Je fus ainsi guider jusqu’à sa chambre. Spacieuse, bien agencée et très lumineuse. Je fus dirigée jusqu’au tapis, devant le lit où Marion s’assit.

« A genoux ».

Hypnotisé par la beauté de ses jambes, je me mis en position. Tête levée vers le haut afin de la contempler dans toute sa splendeur.

« Tu sais que tu es belle ? » Elle pencha la tête jusqu’à la mienne afin de m’embrasser passionnément.

« Pas seulement belle… Tu m’excites. Tu veux bien assouvir les plaisirs de ta future maîtresse adorée ? » Marion approcha son pied gauche de mon visage.

Délicatement, je pris la chaussure entre mes mains pour l’enlever, et ainsi palper sa douce voûte plantaire. Je caressai chacun de ses orteils, son talon… J’embrassai le dessus de son pied, écoutant attentivement les réactions de « maîtresse Marion ». Je passai ma langue entre ses orteils, surprenant quelques soupirs de plaisir… Avant d’engloutir son pied dans ma bouche. Je faisais rentrer ce pied en moi, motivé par la multiplication des bruits de plaisir de «maitresse Marion ». Ces bruits érotiques éveillèrent mon excitation malgré la présence de la cage…

J’appliquai donc un traitement similaire à son pied droit, enlevant la chaussure tout en continuant à « sucer » le pied gauche. Imaginant 2 godes devant mon visage, j’alternai mes caresses entre ces 2 sublimes pieds, engloutissant un pied tandis que mes mains masser l’autre et inversement…

2 doigts saisirent alors ma bouche, Maitresse Marion posant son regard dans le mien… Elle approcha un gode de bonne taille, probablement comme celui que « maman Sophie » utilisa sur moi précédemment, et me l’enfonça dans la bouche.

« Suce le et dévêtis moi ! » Le ton changea soudainement, ne laissant planer aucun doute sur ce que je devais faire…

Le gode fut enfonçait jusqu’au fond de ma gorge, rendant la respiration difficile, mais je m’efforçais de rester digne. Délicatement, je retirai le pantalon des pieds de Maîtresse Marion, mais le jean moulant fut bien difficile à enlever. En m’attardant sur une jambe, puis l’autre, avec douceur, je parviens à enlever le vêtement. Une culotte en dentelle rose, en accord avec le top, souligna à la fois le bon goût, et la classe de ma Maîtresse…

« Stop ». Elle retira le gode de ma bouche, avant de le porter à la sienne. Elle se mit à le lécher sensuellement, sans forcément l’avaler.

« Lèche-moi ».

Toujours envoûté par son charme, je me mis à embrasser son tissu. Y passer ma langue, humidifiant patiemment ce string si excitant… j’imaginai son plaisir, mais focalisé sur ma tâche, je ne pouvais la contempler. Seuls ses bruits me confortèrent sur la bonne réalisation de ma tâche… Mes doigts caressèrent ses jambes, n’osant caresser le dessus de la taille… Je sentais l’excitation de Maitresse Marion monter. Son string s’imbibait de son jus intime bien plus que de ma salive, trop peu importante…

« Stop. Tourne-toi ».

A peine tourné, je senti Maitresse Marion me saisir de nouveau la bouche et m’enfourner un tissu… SON tissu, que je reconnu facilement à l’odeur. Elle me passa ensuite une ceinture, la faisant remonter le long de mes jambes. J’entraperçu alors le gode que je venais de lécher, poser sur la ceinture et recouvrant ma cage de chasteté.

« Allongée ma chienne !! »

C’est ainsi qu’elle s’assit sur moi, son sexe proche du gode… L’enfonçant délicatement en elle. Je me mis à faire des va et viens, mais qu’elle frustration de ne pas pouvoir la pénétrer de mon sexe ! Ces bruits, ces cris, devenaient si sensuelles, qu’ils accentuèrent mon excitation. Assez rapidement je l’entendis exploser de plaisir, sa jouissance recouvrant mes jambes, et surtout ma robe… Après quelques instants de silence où nous reprirent nos esprits, elle ajouta :

« Tu es une belle petite… On va bien s’amuser ensemble ».

C’est à ce moment que quelqu’un tapa à la porte.

« Oui oui, 2 secondes !! » Maitresse Marion se dépêcha d’enfiler un peignoir avant d’ouvrir à Maman Sophie.

A peine rentrée, elle déclara « Je crois que c’est l’heure du bibi pour notre petite ! Tu t’en occupes ? » Elle avait entre ses mains un sac, semblant contenir plus qu’un biberon…

« C’est ma poupée non ? Il faut bien que j’essai, mais je voudrai bien que tu me montres comment la protéger… »

Maîtresse Marion vint vers moi et releva ma tête, l’approchant de sa poitrine. Je pouvais sentir la douceur de sa peau tandis qu’elle approcha le bibi de mes rêves. Maintenant habitué, je saisi la tétine de mes lèvres pour boire mon déjeuner habituel… je profitai de chaque gorgée, vivant pleinement ce rêve… Mes 2 déesses me regardaient, je n’éprouvai aucune honte de cette situation, malgré mon sexe (enfermé) mis en évidence devant elles.

« Tu es sérieuse ?! Tu as déjà utilisé cela sur lui ! » Maman Sophie leva le ton mais il s’agissait davantage de surprise que de colère.

« He bien… J’en avais tellement envie maman, mais non, c’est lui qui l’utilisa sur moi et non le contraire. Je suppose que tu as déjà fait cela avec lui? »

« En effet… Et même plus, je vais te montrer encore un truc puis nous irons manger ».

J’étais surpris d’une telle conversation mère fille… Qu’avait donc pu faire leur mari/père pour qu’elles en viennent à discuter de telles choses si aisément ? Une fois le bibi fini, je me dépêchai de demander ce que nous aurions à manger, mais Maman Sophie me présenta un second bibi que je m’efforçais de finir le plus rapidement possible. Sans me laisser le temps de respirer une fois le bibi terminé, Maman Sophie m’enfourna une tétine bâillon et l’accrocha à ma nuque une fois encore…

« Bon, tu l’as compris, c’est une charmante poupée, donc son oiseau devra rester en cage… Il peut toutefois se procurer du plaisir autrement et il est important qu’elle le comprenne. Ola, il faut faire attention, si on mélange du féminin et du masculin pour s’adresser à elle, nous allons la perturber » ! Ajouta-t-elle dans un éclat de rire.

Sur ce, elle ramassa le gode et s’approcha de mon entrejambe. Avec le jus intime de Maîtresse Marion déjà présent dessus, Maman Sophie n’eut aucun mal à l’insérer en moi, bien qu’elle le fit délicatement et en douceur. Elle alla chercher la couche qu’elle avait passée à Marion plus tôt et la présenta à mon derrière. Je fus donc équipé, sous le regard fasciné de Maîtresse Marion… Le gode ne pouvait plus s’échapper.

« On va manger… Ma petite, si jamais tu fais des dégâts dans la chambre tu seras punie. Te voilà prévenu, profites en pour faire la sieste ».

Mes déesses me laissèrent ainsi, le cul comblé et le sexe prêt à exploser… Toutefois je n’osai pas me masturber l’anus comme précédemment, redoutant leur réaction si je m’amusai à ce genre de pratique sans autorisation… Les règles s’étaient accélérées en quelques heures, et je n’osai refaire l’action de ce matin… Le temps s’écoula. Je contemplai cette chambre, observant chaque détail. La position du bureau, le tiroir sous le lit dans lequel était « dissimulé » un autre matelas. Les 2 charmantes peluches sur le lit. Une peluche d’ours géant y était opposée, positionné dans l’angle de la chambre, mais bien en vu depuis le lit. Cela devenait normal. Le gode me procurait des sensations de plus en plus agréables, mais je me contentai d’attendre le retour de l’une de mes déesses. L’excitation retombant, je me surpris même à uriner dans la couche, sans la moindre gêne. Je m’allongeai sur le lit, la couche réalisant son travail, enrobant mon postérieur de sa douceur, tout en me laissant au sec… Et je me mis à somnoler… Jusqu’au retour de Maîtresse Marion.

Elle caressa doucement mon visage. Approcha ses doigts de mes lèvres que je me mis à lécher avidement…Toujours avec délicatesse, elle me retourna sur le ventre, releva ma robe pour accéder au derrière de ma couche…et la découpa au niveau de mon anus, comme l’a fait Maman Sophie la veille… Et le gode me fut enlevé.

« Garde les yeux sur l’oreiller !! »

Sans aucune difficulté, notamment à cause de la fatigue, je me laissai conduire par Maîtresse Marion… Soudain, je senti le gode me pénétrer de nouveau et faire des va et vient. D’abord doucement, puis accélérant progressivement. En parallèle, Maîtresse Sophie agrippa mes poignets, m’immobilisant dans cette posture et me défonçant l’anus avec, ce que je suppose, son gode ceinture. Je rentrai de plus en plus dans mon rôle. La seule partie de mon corps que j’osai bouger, fut mon bas ventre, dont j’essayai d’accompagner les mouvements de pénétration de Maîtresse Marion.

Je l’entendais souffler, m’encourager. « Tu es une bonne petite ». « Continue ma poupée. Ma chienne, ma soumise… » Tout les termes qui lui passaient par la tête furent employaient à mon encontre. Elle ponctuait toutefois ses mouvements par des moments de pause, où mes fesses essayaient désespérément de poursuivre cette masturbation anale, source de plaisir… Jusqu’à ce que… Plus rien. Je me sentais vide. Je ne ressentais plus le bas ventre de Maitresse Marion, seulement ses doigts sur mes poignets.

« Garde les yeux fermés ».

Une laisse fut accrochée à mon fameux collier et on me tira en bas du lit. Je tombais ainsi sur le matelas, probablement tiré de sous le lit. Après quelques minutes, elle m’autorisa à ouvrir les yeux.

Je constatai donc la laisse, accrochée au pied du bureau et m’indiquant clairement où était ma place. Un drap était posé sur moi, signifiant que je ne partagerai pas la couche de ma Maîtresse, mais surtout… Le gros nounours en peluche était à mes côtés, sur le sol.

« Aller, va dormir ».

La lumière s’éteignit et Maîtresse Marion sorti de la chambre, mais un détail capta mon attention… Une fois mes yeux habitués à l’obscurité, je constatai quelque chose entre les jambes de l’ours… Maîtresse Marion y avait… Accroché le gode ceinture ?! Tout en douceur, essayant de ne pas faire trop de bruit… Je ramassai cette peluche et me mis sur elle, présentant mon anus à ce gode… Et m’enfila dessus. Je m’essayai et me relevai, jusqu’à atteindre la jouissance très rapidement, et je m’évanouis de fatigue, la peluche dans mes bras.

Lundi

Me voici de retour au travail après ce week-end si spécial. Je porte une couche sous les vêtements et les toilettes me sont strictement interdites… Maman Sophie arbore fièrement la clé de ma cage à son cou, à la vu de tout le monde. Maîtresse Marion est également avec nous… Je l’ignorai, mais elle travaillera tout le mois d’Août avec moi, elle aussi en tant qu’étudiante pour payer ses études…

Ou plutôt, je travaillerai avec elle. En cette journée, tout les prétexte furent bon pour qu’on se retrouve seul tout les 2. A ces moments, elle parle de moi au féminin, et s’amuse avec les multiples boules vibrantes dans la couche. Ma bouche a son utilité, de même que mes mains, que cela soit pour lui masser le dos, les cuisses… Ou des parties plus intimes. Un de ses gros plaisir étant d’uriner dans ma couche, comme le faisait Maman Sophie ce week-end. Je me mets en position, couche écartée de mon ventre, et je sens l’urine de ma maîtresse s’écouler dans ma couche. J’ai même droit à être changé dès que j’estime que c’est limite, mais si j’exagère avec une telle demande, je suis prévenu : je serai puni.

A 2 reprises aujourd’hui, Maman Sophie m’a fait demandée à son bureau pour « un problème informatique ». Apparemment ce problème ne pouvait se résoudre qu’en ayant la langue entre ses jambes… Il arriva à plusieurs reprises qu’une collègue rentre et demande où j’étais. Etant caché sous le bureau, Maman Sophie se contentait de répondre « comme tout étudiant, il travaille pour soulager notre quotidien, que cela soit plus agréable pour nous de venir ». Phrase énigmatique, mais si clair pour moi.

Le repas du midi est normal, au milieu de toutes les collègues et en contradiction avec le bibi qui m’attend chez mes déesses. Le deal pour ce mois de vacances est simple : je dors chez elles le mercredi, vendredi, samedi et dimanche. Mes parents comprennent que je souhaite sortir et imagine que je vois une fille… Donc je n’ai pas de problème à ce sujet.

Seul impératif : je dois dormir avec ma peluche en permanence… Et interdiction de lui lever le jouet entre ses jambes. Une couche lui fut mise pour cacher le « joujou » et je dois faire au mieux pour le déplacer chez moi sans qu’il soit vu… Qui comprendrait qu’un jeune adulte ait autant besoin de déplacer une telle peluche ?

Je m’interroge sur le port constant de la cage, mais Maman Sophie me rassure à ce sujet : rien ne sera fait pouvant m’occasionner des séquelles. Elles n’y connaissent pas grand-chose, mais s’occuperont de mon hygiène régulière… Que ce soit pour mon sexe ou les poils… Le port de couche m’est imposée, mais j’ai droit à être changé chaque matin et je peux en profiter pour faire la grosse commission. A l’inverse, la petite est plutôt encouragée dans la couche. Maman ou Maîtresse s’amusant même à m’obliger à uriner dans la couche devant elle… Je découvre donc un nouveau monde, de nouvelles sensations, et ce mois d’Août s’annonce comme étant riche en émotion !

Mais plus que tout… Maîtresse Marion m’a annoncé que les prochains week-ends nous pourrions partager le même lit et qu’elle adorait avoir fait ma connaissance… Ce rêve éveillé va sembler se poursuivre pour le meilleur… Tout comme le pire.

Très beau récit,je mis suis cru..
j'ai bien aimé, et je suis une peu jaloux car j'aurais bien aimé que cela m'arrive.
Superbe histoire vraiment bien écrite. La lecture est un vrai moment de plaisir. Bravo et merci
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